Sanité morale dans une société saturée de sexe
13,2 x 20,9 cm
262 pages
Le point de rencontre entre la FOI et la CULTURE
Comment vivre à la hauteur du standard d’intégrité biblique dans une société relativiste centrée sur le sexe et la satisfaction personnelle, où les valeurs morales sont constamment assaillies et où le péché dénature tout ce que Dieu a conçu ?
Gary Inrig prend le problème à bras-le-corps en promouvant une compréhension pragmatique du précieux cadeau de la sexualité offert par Dieu aux êtres humains, des dommages que la sexualité a subis à cause du péché, et du plan de Dieu pour réparer le mal qui a été fait. La pureté au coeur du désir appuie ses convictions morales sur des passages de l’Écriture et offre de sages conseils, tant pour nous que pour nos enfants, afin de nous aider à relever le défi posé par notre culture.
La pureté au coeur du désir nous encourage à chercher de tout notre coeur, à, non seulement éviter les péchés sexuels, mais aussi à poursuivre la sainteté pour notre bien et pour la gloire de Dieu. Les chapitres tels «Le noble cadeau de Dieu», «Le paradis perdu», «Mon corps et la gloire de Dieu», «Mon mariage et la gloire de Dieu», «Un pacte avec les yeux», «Contrôle parental obligatoire» et «Être « homosexuel », c’est OK ?» vous donnent ce dont vous avec besoin pour :
défendre vos valeurs morales avec l’épée de la vraie spiritualité;
préserver le précieux cadeau de Dieu dans un monde déchu;
appuyer vos convictions sur la Parole de Dieu.
Livre bien écrit, bien documenté. L’auteur cite de nombreuses références bibliques et aussi d’autres sources pour appuyer son propos. Il explique sans juger, mais de façon claire, que les valeurs de Dieu sont bonnes, agréables et justes et met en garde contre les fausses idées véhiculées par la société actuelle.
Introduction
Le noble cadeau de Dieu
Le paradis perdu
Spiritualité authentique
Mon corps et la gloire de Dieu
Mon mariage et la gloire de Dieu
Désir pur
Un pacte avec les yeux
Un combat incessant
Un est un nombre entier
Contrôle parental obligatoire
Être «homosexuel», c’est OK ?
Un nouveau commencement
Conclusion