«Qu'ils sont beaux sur les montagnes,
Les pieds de celui qui apporte de bonnes nouvelles, qui publie la paix !
De celui qui apporte de bonnes nouvelles, qui publie le salut !
De celui qui dit à Sion : Ton DIEU RÈGNE !» (Ésaïe 52:7)
Tout autour du globe et dans toutes les cultures, on trouve des gens de diverses langues qui se régalent de la lecture des sermons de Charles Spurgeon. D'où vient ce phénomène ? Celui qui s'attable à ces «banquets de l'Évangile» et qui y goûte ne pose plus cette question. Il a expérimenté l'immense attraction que ces prédications exercent sur une grande multitude d'âmes. Un tel homme se régale de mets succulents et préparés avec adresse.
Spurgeon dispense une nourriture solide, une doctrine robuste, mais il n'oublie jamais pour autant qu'avant tout, l'Évangile de la grâce apporte le salut au pécheur perdu. Hardiment, résolument, mais chaleureusement, il annonce l'Agneau de Dieu, élu dès avant la fondation du monde pour le salut de quiconque croit.
Quand il plonge dans les profondeurs du conseil divin, c'est pour en faire ressortir Christ ! Quand il se tend, comme à sa rompre, en appels vibrants de compassion, c'est parce qu'il présente Christ. Il n'y a pas d'autre Sauveur car en lui la grâce divine brille de ses mille facettes !
Pourquoi je crois à la grâce souveraine
À bas les caricatures !
Le Souverain absolu (Matthieu 20.15)
Un dessein infaillible (Job 23.13)
Dieu sauve uniquement par grâce (2 Timothée 1.9)
Espèces d'incapables ! (Jean 6.44)
L'élection divine souveraine (2 Thessaloniciens 2.13-14)
Les manifestations de l'élection (1 Thessaloniciens 1.4-6)
La libre grâce de Dieu (Ézéchiel 36.32)
La providence de Dieu (Matthieu 10.30)
La grâce avant la conversion (Galates 1.15)
Une expiation parfaite (Matthieu 20.28)
Une rédemption abondante (Psaume 130.9)
L'appel qui ne se refuse pas (Genèse 12.5)
Les élus ne périront jamais (Job 17.9)
La grâce ne conduit pas au péché (Romains 6.14-15)