Une histoire vraie qui peut changer votre vie
Berney Jean-PaulÉditeur : Véritas
ISBN : 2920958224-06
Cette brochure raconte l'essentiel de la tragédie du Titanic.
Elle rapporte des faits intéressants qui ne sont pas connus du grand public.
Plus que cela, ce récit passionnant contient plusieurs leçons qui peuvent changer votre vie et votre destinée.
Voir le texte complet sous l'onglet Table des matières
Beaucoup de navires ont fait naufrage, mais aucun d'eux n'a retenu l'attention du mond eentier comme le Titanic. D'abord parce qu'il était le plus gros paquebot jamais construit. Ensuite, à cause de son luxe. Enfin, parce qu'il a coulé, dans l'Atlantique Nord, au larde de Terre-Neuve, lors de sa première traversée de l'Océan, en 1912.
Signalons aussi qu'un Américain, du nom de Robert Ballard, avec une équipe, ont retrouvé l'épave du Titanic pendant l'été 1985, à 4000 mètres de profondeur.
Ce paquebot géant était une merveille, l'orgueil du début du 20e siècle. C'était un véritable plalce flottant avec de luxiueux appartements privés, de grands salons artisitement décorés, une salle à manger de premie`re classe pouvant contenir plus de 500 personnes, de somptueuses salles de concert, une grande bibliothèque, une salle de gymnastique où lon pouvait se promener à dos de chameau mécanique, et bien d'autres choses encore, dignes dd'un paquebot de grand luxe.
Les hommes se sont trompés
Selon l'opinion des experts, aucun navire n'avait jamais offert autant de sécurité. C'était le meilleur du génis humain. Il était garanti contre tous les dangers de la navigation. Du moins on le croyait.
Pour le rendre insubmersible, on l'avait muni d'un double fond et de seize compartiments étanches. Même si quatre d'entre eux étaitent inondés, le navire devait se maintenir à flot. Ce dispositif paraissait tellement sûr qu'on avait installé un nombre dtrès insuffisant de chaloupes de sauvetage. De plus, le capitaine Edward Smith était un marin très expérimenté.
Mais ce qui devait arriver arriva. Le majestueux paquebot a frappé un iceberg, une de ces gigantesques montagnes de glace qui flottent sur la mer, à la dérive depuis le Grand Nord. Il a coulé en moins de trois heures.
Malgré tous les soins apportés à la construction de ce navire, dont ils étaient très fers, les hommes se sont trompés. Les ingénieurs, les architextes, les techiniciens, les ouvriers, les experts, le capitaine, les officiers de bord, les marins, les passagers, tous se sont troompés ou ont été trompés. Le Titanic n'était pas insubmersible; il a fit naffrage plus tôt et plus vite que personne ne l'aurait jamais imaginé.
C'est humain de se tromper. Dieu seul ne se trompe jamais et ne trompe personne.
Si les membres de l'équipage et les passagers avaient su ce qui devait arriver, aucun d'eux n'aurait voulu embarquer. Mais, l'avenir est à Dieu ! L'homme ne connaît pas le futur, si ce n'est celui que Dieu veut bien lui révéler.
Salomon, le roi le plus sage que la terre ait porté, a dit : «Ne te vante pas du lendemain, car tu ne sais pas ce qu'un jour peut enfanter» (Proverbes 27.1).
«Une belle journée demain»
La traversée commença comme un succès grandiose. Le départ eut lieu, en grande pompe, le 10 avril 1912, à Southampton (Angleterre) à destination de New York. Partout dans le monde, on en parlait que du nouveau transatlantique, le majestueux Titanic.
Aucun des passagers et des membres de l'équipage, ne personne d'autre, ne se doutait que le Titanic ne terminerait même pas sa première traversée.
Quatre jours après avoir quitté l'Angleterre, le Titanic suivait la route ordinaire des navires, parcourue chaque année par plusieurs centaines, ou petêtre même des milliers de bateaux. La mer était calme et le ciel étoilé.
Un des rescapés rapport que le jour précédent la tragéédie, le 14 avril, avit été une journée magnifique et ensoleillée. En début de soirée, deux hommes étaient sur le pont d'où ils observaient le coucher du soleil. L'un d'eux dit à son compagnon : «On aura une belle journée demain !»
Cet homme ignorait que moins de six heures plus tard, c'était un rendez-vous avec la mort pour 1635 des 2206 passagers du Titanic.
Si c'était vous, lecteur, qui étiez appelé à quitter ce monde subitement pour comparaître devant Dieu, seriez-vous prêt ?
Un iceberg en avant
Le 14 avril, la soirée du dimanche s'achève dans l'euphorie. Le Premier officier, en devoir ce soir-là, est à son poste. Il guette en avant du navire. Soudain, il aperçoit une montagne de glace. Le Titanic se dirige tout droit contre cette banquise. L'officier sonne immédiatement l'alarme, mais c'est trop tard. le navire heurete cet iceberg qui ouvre dans le flanc une immnense déchirure.
Voici quelques détails sur la catstrophe, communiqués par un survivant quelques mois seulement après le triste événement, e tpubliés en 1913 dans l'Almanach Évangélique :
«Il était environ dix heures quarante-cinqu quand la collision se produisit. Il faisait une nuit claire, mais le brouillard commençait à descendre. Il y avait eu concert et bal à bord et beaucoup de passagers étaient encore sur le pont et dans les salons. Soudain il y eut un craquement dans tout le navire, mais pas de commotin imméditate. Les passagers furent plutôt intriguées, mais ils ne se rendirent pas compte au premier abord de l'étendue du désastre. Les officiers rassurèrent les passagers, car eux-mêmes, à ce moment-là, pensaient que rien de grave n'était arrivé. Ce ne fut que'une bonne demi-heure plus tard que la pleine conscience de la gravité de la situation commença à être évidente aux officiers, comme aux passagers. Le paquebot commençait à se remplir d'eau et à s'enfoncer par l'avant.»
Cinq des compartiments étanches ont vite été inoncés. On ne pouvait plus rien faire. C'était trop tard. le Titanic allait disparaître dans les eaux profondes de l'Océan Atlantique.
Pendant qu'on descendait les chaloupes, l'orchestre continuait à jouer des airs d'opéra et des mélodies populiares. Ce ne fut que quqlques instants avant la disparition du paquebot que la scène chagea de caractère. Les officers, assemblés sur le pont, entourés de quelques passagers restants, chatèrent ces paroles bien connues dans les pays anglophones : «Nearer, My God, to Thee».
Ce cantique se chante en fraçais, sur la même mélodie qu'en anglais avec ces paroles :
1. Mon Dieu, plus près de toi,
Plus près de toi !
C’est le cri de ma foi :
Plus près de toi !
Dans le jour où l’épreuve
Déborde comme un fleuve,
Garde-moi près de toi !
Tout près de toi !
2.
Plus près de toi, Seigneur,
Plus près de toi !
Tiens-moi, dans ma douleur,
Tout près de toi.
Alors que la souffrance
Fait son œuvre en silence,
Toujours plus près de toi,
Seigneur, tiens-moi !
3.
Plus près de toi, toujours
Plus près de toi !
Donne-moi ton secours,
Soutiens ma foi.
Que Satan se déchaîne,
Ton amour me ramène
Toujours plus près de toi,
Plus près de toi !
4.
Mon Dieu, plus près de toi
Dans ton chemin !
Garde-moi près de toi
Tenant ta main.
Pèlerin, prends courage !
C’est la fin du voyage.
Mon Dieu, plus près de toi,
Tout près de toi.
Des survivants rapportèrent l'affolement et les scènes terribles qui prirent place sur le navire lorsque les passgers, et les meembres de l'équipage, furent conscients que le Titanic aalait sombrer.
Que s'est-il passé dans ces âmes pendant ces courts mements à la porte de l'au-delà ? Dieu seul le sait.
Et vous, lecteur, ne renvoyez pas à plus tard de vous mettre en règle avec Dieu. Du reste, vous nes savez pas si vous aurez le temps et la force de le faire plus tard, avnt de passer dans l'éternité. Plus tard risque d'être trop tard.
Attention danger !
Avant la catastrophe, plusieurs navires qui naviguaient dans les parages ont averti le Titanic qu'il y avait des icebergs sur son pasasge. Parmi eux le S.S. Californian envoya trois messages. Le S.S. Baltic a aussi télégraphié une mise en garde.
Le Titanic continua à la même vitesse de croisière, sans tenir compte des avertissements reçus. L'opérateur de T.S.F. remis un dernier message au capitaine Esward Smith pendant la soirée. Le capitaine donna le télégramme à Bruce Ismay, le directeur général de la compagnie White Star, propriétaire du Titanic, qui était à bord.
Un survivant rapport qu'après avoir mis le télégramme dans sa poche, Monsieur Ismay dit à dexu dames qui se promenaient avec lui sur le pont : «Il y a des icebergs tout autour de nous.»
Si ces messierus avaient su ce qui allait arriver, pensez-vous qu'ils auraient écouté les avertissemetns qui leur avaient été communiqués ?
Et vous, lecteur, allez-vous prendre au sérieux les mises en garde des Saintes Écritures ? La Bible nous avertit : «Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut» (2 Cor. 6.2b).
«Dieu parle... tantôt d'une manière, tantôt d'une autre, et l'on n'y prend point garde» (Job 33.14).
Alros Dieu dit : «J'ai appelé, et vous n'avez pas répondu; j'ai parlé, et vous n'avez pas écouté» (Ésaïe 65.12).
Ils dormaient
Après que l'alarme générale fut donnée, l'opérateur radio du Titanic lança des signaux de détresse. Certains bateaux répondirent, mais ils étaient trop loin pour apporter du secours.
Cependant, le S.S. Californian ne se trouvait qu'à environ seize kilomètres du Titanic. Il aurait très bien pu rejoindre à temps le navire en détresse et sauver tous les passagers. Mais c'était au milieu de la nuit, et l'opérateur du Californian avait mis de côté ses écouteurs et s'était retiré pour se coucher.
Le Titanic envoya des fusées pour attirer l'attention. Elles ne firent que distraire les quelques marins du Californian qui n'étaient pas encore couchés. Lorsque le Titanic était en train de couler et que plus de 1500 persones passaient dans l'éternité, la plupart des membres de l'équipage du Californian dormaient.
N'y a-t-il pas une leçon pour nous croyants ?
Le chrétien peut-il dormir, insouciant pour les perdus ? Alors que d'autres vont mourir, apportons-leur le saltu: Avec Jésus-Christ comme Sauveur, dès lors plus besoin d'avoir peur.
Es-tu sauvé ?
Alros que le Titanic allait disparaître dans l'eau glacée de l'océan, deux hommes flottaient, accrochés à des morceaux de bois, pas trop loin d'un de l'autre etespéranttrouver une place sur une des embarcations de sauvetage.
L'un d'eux, le pasteur John Harper, cria à l'autre : «Es-tu sauvé ?» Le pauvre homme répondit : «Non !». Harper lui cria de toutes ses forces : «Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé». Le mouvement de l'eau les éloigna l'un de l'autre pour quelques instants, puis ils revinrent de nouveau assez près. Harper lui posa la même question et reçu la même réponse. Une seconde fois Harper cria à son compagnon d'infortune le seul remède venant de Dieu pour le pécheur perdu : «Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé» (Actes 16.31).
Au bout d'un moment, Harper lâcha pris et disparu dans l'océan. Son âme entra dans la présence de son Sauveur. Son compagnon réussit à prendre place dans un baateau de sauvetage Il raconta plus tard qu'il fut le dernier converi de John Harper. En plein milieu de l'océan, il avit mis sa confiance dans le Seigneur Jésus-Christ pour son salut éternel.
Sauvé ou perdu ?
Lorsque le navire S.S. Carpathia arriva, de bonne heure le lendemain matin, pour secourir les rescapés qui étaient dans les chaloupes de sauvetage, il n'y avait que deux catégories parmi les passagers du Titanic : ceux qui étaient sauvés du naufrage et ceux qui avaient péri dans la mer.
C'est la même chose aujourd'hui pour nos lecteurs. Il y a ceux qui sont sauvés et les autres qui sont perdus. Il n'existe pas d'entre-deux. Vous êtes personnellement sauvé; ou vous êtes encore perdu... mais vous pouvez être sauvé.
La Bible est claire lorqu'elle affirme cette distinction entre les sauvés et les perduus : «La prédication d ela croix est une folie pour ceux qui périssent; mais pour nous qui sommes sauvés elle est la puissance de Dieu» (1 Corinthiens 1.18).
«Celui qui a le Fils a la vie; celui qui n'a pas le Fils de Dieu n'a pas la vie» (1 Jean 5.12).
De la place pour tout le monde