À quoi ressemblera le ciel ?
Le ciel est un endroit plus merveilleux que tout ce que nous pouvons imaginer. C’est un lieu de bonheur et de beauté, de paix et de joie sans fin.
Pourquoi ? Parce que le ciel est aussi un lieu où il n’y aura ni péché, ni souffrance, ni chagrin, ni douleur. C’est un lieu où il n’y aura pas de querelles ou de désaccords, et pas non plus de déceptions ou de pleurs, car il n’y aura rien dans cet endroit qui puisse nous rendre tristes. De plus, au ciel, nous ne ferons jamais rien pour déplaire à Dieu.
Nous connaîtrons alors une joie parfaite. Le Psaume 16 nous dit : « [Il] y a d’abondantes joies devant ta face, des délices éternelles à ta droite » (v. 11b). Tout ce qui nous fait gémir aura disparu, car nous serons dans la présence même de Dieu, là où se trouve le bonheur le plus pur et le plus vrai.
Au ciel, nous aurons également une connaissance parfaite. La Bible dit : « [Alors] je connaîtrai comme j’ai été connu » (1 Co 13.12b). Plus aucune question ne restera sans réponse, il n’y aura plus de confusion, d’ignorance, et il ne sera plus nécessaire de marcher par la foi plutôt que par la vue.
Nous vivrons également un confort parfait. Nous aimerons Dieu parfaitement et serons aimés parfaitement par lui. Son amour nous enveloppera à jamais.
En somme, le paradis est un lieu où règne une joie parfaite pour toujours.
Pensez-y ! Nous serons parfaitement libérés du mal pour toujours. Nous serons libérés du joug du péché, et enfin capables de faire ce qui est absolument juste, saint et parfait devant Dieu. Une fois le péché et ses effets effacés à jamais, le ciel promet une vie éternelle de bénédictions inimaginables !
À quel point dois-je être bon pour aller au paradis ?
La plupart des gens savent que faire le mal peut nous empêcher d’aller au paradis, mais peu comprennent que la Bible enseigne également notre incapacité à y entrer en faisant le bien.
Aucun d’entre nous ne pourra jamais accomplir suffisamment de bonnes œuvres pour mériter le paradis. Jésus a dit : « [Je] vous le dis, si votre justice ne surpasse celle des scribes et des pharisiens, vous n’entrerez point dans le royaume des cieux » (Mt 5.20). Il a aussi ajouté : « Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait » (v. 48).
Qui peut donc aller au ciel ? Qui peut être sauvé ?
Les disciples de Jésus lui ont posé cette même question (Mt 19.25). Jésus leur a dit : « Aux hommes cela est impossible, mais à Dieu tout est possible » (v. 26b). En d’autres termes, le salut qui donne accès au ciel n’est pas quelque chose que nous pouvons acquérir par nos propres moyens. C’est quelque chose qui doit venir de Dieu.
Et si j’arrêtais de pécher maintenant et ne péchais plus jamais ?
Quels que soient nos efforts, nous ne pourrons jamais cesser d’être des pécheurs, car nous sommes irrémédiablement sous l’emprise du péché. La Bible nous dit que même notre cœur est tortueux et profondément méchant (Jé 17.9). Autrement dit, nous sommes pécheurs jusqu’au plus profond de nous-mêmes. De plus, un seul péché suffirait à nous condamner à jamais : « Car quiconque observe toute la loi, mais pèche contre un seul commandement, devient coupable de tous » (Ja 2.10). Aussi, même si nous ne péchions plus à partir de maintenant, nous serions toujours coupables de nos péchés passés, et comme le dit la Bible, « le salaire du péché, c’est la mort » (Ro 6.23).
Mais la bonne nouvelle, c’est que Dieu a prévu un moyen de nous libérer de la culpabilité du péché !
Qu’est-ce que Dieu a fait pour moi afin d’effacer mon péché et me permettre d’aller au ciel ?
Lorsque Dieu pardonne, il ne peut se contenter d’ignorer le péché. Notre péché doit faire l’objet d’un paiement intégral (expiation). La mort du Christ permet une expiation complète à tous ceux qui mettent leur confiance en lui. Si nous croyons en lui, sa mort nous est imputée et paye la dette de tous nos péchés. La Bible dit que « le sang de Jésus […] nous purifie de tout péché » (1 Jn 1.7). Ce n’est que par le sang du Christ que nous pouvons être lavés de la terrible culpabilité du péché.
Mais cela permet seulement d’effacer la culpabilité qui découle de nos péchés ; nous avons encore besoin d’une justice parfaite pour entrer dans le royaume des cieux (Mt 5.20).
D’où vient cette justice parfaite ?
Si vous croyez vraiment en Jésus, le plein mérite de sa propre justice vous est crédité (imputé), comme à tous ceux qui se confient en lui seul pour leur salut.
La Bible enseigne que Dieu justifie les impies en leur imputant (ou en leur créditant) la justice du Christ (Ro 4.5). Les croyants sont alors revêtus de sa justice. Dieu les accepte uniquement et exclusivement sur cette base. Ainsi, l’apôtre Paul était prêt à renoncer à tenter de gagner la faveur divine par ses propres moyens, préférant se présenter devant Dieu en étant vêtu d’une justice qui n’était pas la sienne (Ph 3.8,9).
Si vous n’êtes pas chrétien, vous devez saisir par la foi cette vérité : le péché qui vous empêche d’accéder au ciel ne connaît aucun autre remède que le sang de Christ. Si vous êtes fatigué et chargé, si le poids de la culpabilité vous accable, sachez qu’il vous offre la vie, le pardon et le repos éternel : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos » (Mt 11.28).
Comment puis-je être sûr que le Christ me sauvera ?
La Bible promet qu’aucune personne qui croit en Christ ne sera rejetée : « [Je] ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi… » (Jn 6.37.) Dans les derniers passages de la Bible, le Christ invite tout le monde à venir à lui et à recevoir la promesse du ciel : « [Que] celui qui entend dise : Viens. Et que celui qui a soif vienne ; que celui qui veut prenne de l’eau de la vie, gratuitement » (Ap 22.17b).
Si vous souhaitez connaître Jésus-Christ comme votre Sauveur et bénéficier de la promesse du ciel, nous vous encourageons à le recevoir dès maintenant, où que vous soyez. Priez simplement ainsi : Cher Jésus, je sais que je suis un pécheur, et je sais que tu es mort pour moi afin de payer pour mes péchés. Pardonne-moi et fais de moi l’un de tes enfants, afin que je puisse vivre au ciel avec toi pour l’éternité.