13.8 x 21.5 cm
120 pages
Si la maladie ou l’invalidité donnent le temps de réfléchir, la tendance naturelle de nos pensées dans un tel état peut ne pas être très réconfortante. La maladie met souvent fin aux activités que nous aimons. Elle nous rend dépendants d’autrui. D’autre part, les sentiments de douleur, d’inutilité ou d’anxiété quant à l’avenir ne manquent pas de revêtir une réalité très concrète.
En cherchant à aider ceux qui souffrent ainsi, l’auteur ne sous-estime pas la force de ces obstacles à la consolation.
Loin d’offrir des conseils superficiels, il affirme qu’il n’y a pas de consolation disponible sans la présence préalable d’une connaissance véritable de soi-même, ainsi qu’une connaissance juste de Dieu.
Il déclare quelle doit être cette connaissance et montre comment, avec la foi dans le caractère et la présence de Dieu, la souffrance n’est pas obligatoirement une expérience sombre.