Jésus et le jeune homme riche

Quel est le concept qui repose à la base de l’évangélisation actuelle, et comment ces idées se traduisent-elles dans la pratique ? Quel est le cœur du message et quels sont les fruits qui résultent de son annonce ? Les réponses à ces questions bien légitimes font apparaître que tout n’est peut-être pas aussi sain qu’on veut le dire dans ce qui se produit aujourd’hui. L’auteur examine l’approche ainsi que le message que le Seigneur Jésus lui-même emploie lors de sa rencontre avec un jeune homme riche désireux de posséder la vie éternelle. Dans ce regard franc et sans compromis, il met au jour le fait que Jésus est bien différent de ce qu’on voit de nos jours. Il est vrai que le résultat de cette rencontre fut négatif, tout au moins selon les critères modernes, car cet homme apparemment si prometteur «s’en alla tout triste», toujours en proie à son péché. Or, que vaut-il mieux ? Faire entrer des âmes dans une expérience fausse basée sur un message déficient, ou laisser s’éloigner un homme qui sait désormais où est la vérité ? Il est bon de revenir au Modèle divin et d’avoir une humilité qui permet de se laisser enseigner dans les fondements de la foi à salut selon le Maître, ainsi qu’une audace qui conduit à marcher dans ses pas en dépit de tout.

Dédicace 

1. L’évangélisation moderne est-elle en si bonne santé ? 
La vérité ou l’unité - que choisir ? 
Évangélisation et tradition 
À l’écoute du Maître 
2. Le caractère de Dieu 
Les atouts du jeune homme riche 
Le reproche de Jésus 
La motivation de Jésus 
Le message de Jésus 
3. La loi de Dieu 
Les neuf premiers commandements 
Le dixième commandement 
4. La repentance envers Dieu 
5. La foi dans le Fils de Dieu 
6. L’assurance d’être accepté devant Dieu 
7. Une indispensable dépendance de Dieu 

Conclusion 

Appendice - la volonté de l’homme, réelle, mais liée 
1. La volonté de l’homme possède une certaine liberté 
2. La volonté de l’homme n’est pas une faculté souveraine 
3. La volonté de l’homme est esclave du péché 
4. L’espérance de l’homme ne réside pas dans sa volonté